VENTS CONTRAIRES

Vous êtes joueur et par conséquent vous aimez jouer. Votre serviteur n’est pas joueur, toutefois, il est fort honoré d’avoir joué et de faire, avec les amis qu’il vient de retrouver, désormais,  partie de l’aventure de VENTS CONTRAIRES la revue collaborative du Théâtre du Rond-Point.

Pour en savoir plus sur cette bande de joyeux drilles, c’est ICI

2 commentaires sur “VENTS CONTRAIRES

  1. catherine hugue dit :

    Faire partie de quelle aventure Poindron ? La revue collabo de ribes, pardon de rené la taupe! bien sûr!
    Passe le bonjour à Maitre chevillard sur son arbre perché, de la part de la môme piaf et du renard. Salut le gros!

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  2. Catherine Hugue. dit :

    A monsieur Poindron, la seule personne à nous avoir accordés dans l’univers du net un regard, une attention.

    J’ai lu votre livre avec intérêt…Il y aurait bien des choses à dire sur Bram Stoker, la véritable origine de l’inspiration de son Dracula, The Hermetiker Order of the Golden Dawn, dont il était membre (de l’ordre extérieur du moins); Bram n’était pas seul, je songe à Yeats, Machen, Crowley, Bennett, Farr, Moïna Bergson, Maud Gonn, etc. ; la tradition roumaine et tchèque des moroï, la singulière histoire du crâne d’un vampire roumain volé dans la crypte d’un cimetière de la banlieue par des adeptes de l’O.T.O.
    Mais ceci aurait été l’objet d’une longue conversation si le destin avait voulu nous mettre en présence les uns des autres.
    Nous avons trouvé votre évocation de la vie d’Adelbert von Chamisso assez touchante… un auteur injustement méconnu en France.
    Vous devez aimer l’interprétation du cycle de lieders de Schumann; « L’amour et la vie d’une femme » interprété par l’irremplaçable Kathleen Ferrier, souvent complété par le sublime lied Widdmung.
    Avez-vous tiré de votre imagination l’incroyable destin de la dépouille de Voltaire ?
    Lovecraft, que vous évoquez, disait que nous n’inventons rien, que certains inspirés reçoivent des révélations du grand inconnu qui nous cerne.

    Je vous dis adieu,
    Anna a résilié nos messageries et compte FB, ( pas de retour en arrière, pas de pseudonymes, plus de masques)
    déçues par la grande promesse, en fait la grande illusion du net: communiquer.
    Nous avons cherché par tous les mots possibles, et quelques audaces, sans oublier la provocation à créer des passerelles avec nos semblables, à l’instar de l’araignée du célèbre poème de Walt Whitman:

    « Silencieuse et patiente, une araignée
    Se tenait isolée sur un petit promontoire où je l’ai observée,
    Et j’ai remarqué comment, pour explorer le vaste espace qui l’entourait,
    Elle projetait hors d’elle-même des filaments, des filaments, des filaments,
    Qu’elle dévidait sans relâche, qu’agile elle dépêchait infatigablement.

    Et toi aussi, ô mon âme, là où tu te tiens,
    Entourée, isolée, parmi les océans infinis de l’espace,
    Tu es sans cesse à méditer, à t’aventurer, à lancer, à chercher les sphères pour les unir,
    Jusqu’à ce que le pont dont tu auras besoin,soit construit,
    Jusqu’à ce que l’ancre ductile tienne fermement,
    Jusqu’à ce que le fil de la vierge que tu jettes s’accroche quelque part, ô mon âme. »
    W.W

    Mais personne n’a répondu
    Nous avons semé la controverse, la fantaisie, nous avons moissonné , la haine, la calomnie, l’imposture, trois filles du Mal.

    Amères, nous tirons notre révérence.avec ces paroles du poète américain,

    « Du fond de ses yeux burinés, – dardant vers vous son éclair pour passer de là aux temps futurs,
    Pour s’élancer et tourner, furtif, à travers les espaces – jailli de ces yeux-là,
    A vous, qui que vous soyez, j’adresse un regard. »
    W.W.

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