Et ces mots de Ödön von Horváth si proches de ceux de Diogène se débarassant de l’écuelle et portant une lanterne… « Je n’ai rien, sauf ce que j’ai sur le dos, et la valise avec une vieille machine à écrire portative” » « Dans toutes mes pièces, je n’ai rien embelli, rien enlaidi. J’ai tenté d’affronter sans égards la bêtise et le mensonge ; cette brutalité représente peut-être l’aspect le plus noble de la tâche d’un homme de lettres qui se plaît à croire parfois qu’il écrit pour que les gens se reconnaissent eux-même. »