Depuis son plus jeune âge, Casimir collectionne les appeaux. Il en possède un grand nombre et en prend soin car il sait qu’ils peuvent être attaqués par des champignons et des bactéries. Avec le temps, il est même devenu un spécialiste des maladie de l’appeau. Pour enrichir sa collection, Casimir voyage beaucoup. Un jour, en Turquie, il a dépensé une fortune pour acquérir un exemplaire unique que dès lors, il a appelé « L’appeau d’Ephèse ». Un peu plus tard, persuadé que sa vocation était d’œuvrer à la diffusion des appeaux, il a résolu d’abandonner son métier d’avocat pour en vendre. Il a donc ouvert donc un magasin. Bien entendu, les gens de son entourage n’ont pas compris qu’il décide ainsi de travailler pour l’appeau. Mais ils ont été obligés de constater que cette décision l’avait transformé. A présent, il rayonnait de joie. A ceux qui s’en étonnaient il disait : « Il y en a qui cherchent le bonheur dans la réussite matérielle, d’autres dans les honneurs, d’autres encore dans la compagnie des femmes. Moi, je l’ai dans l’appeau. » Mais, peu à peu sa passion pour l’appeau s’est faite excessive, quasi exclusive. Casimir s’est détaché de tout, y compris de sa femme et de ses enfants, pour se consacrer à l’appeau. Il a toutefois gardé le goût qu’il avait depuis son enfance pour les zoos. Si bien que maintenant, à la fin de sa vie, il n’a plus que l’appeau et les zoos.
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Depuis son plus jeune âge, Casimir collectionne les appeaux. Il en possède un grand nombre et en prend soin car il sait qu’ils peuvent être attaqués par des champignons et des bactéries. Avec le temps, il est même devenu un spécialiste des maladie de l’appeau. Pour enrichir sa collection, Casimir voyage beaucoup. Un jour, en Turquie, il a dépensé une fortune pour acquérir un exemplaire unique que dès lors, il a appelé « L’appeau d’Ephèse ». Un peu plus tard, persuadé que sa vocation était d’œuvrer à la diffusion des appeaux, il a résolu d’abandonner son métier d’avocat pour en vendre. Il a donc ouvert donc un magasin. Bien entendu, les gens de son entourage n’ont pas compris qu’il décide ainsi de travailler pour l’appeau. Mais ils ont été obligés de constater que cette décision l’avait transformé. A présent, il rayonnait de joie. A ceux qui s’en étonnaient il disait : « Il y en a qui cherchent le bonheur dans la réussite matérielle, d’autres dans les honneurs, d’autres encore dans la compagnie des femmes. Moi, je l’ai dans l’appeau. » Mais, peu à peu sa passion pour l’appeau s’est faite excessive, quasi exclusive. Casimir s’est détaché de tout, y compris de sa femme et de ses enfants, pour se consacrer à l’appeau. Il a toutefois gardé le goût qu’il avait depuis son enfance pour les zoos. Si bien que maintenant, à la fin de sa vie, il n’a plus que l’appeau et les zoos.
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